Qu’elles soient joufflues, plates, pointues, flasques, coincées, légères, généreuses, petites, rebondies, poilues, musclées, ridées, dodues, fermes, tombantes, molles, grosses, serrées, cambrées, les fesses vont deux par deux et, par là, indiquent déjà leur duplicité. Invisibles à celui qui les porte et observables par tous ; indispensables et inavouables ; objets de caresses et de brutalité ; unisexes et tellement sexuées à la fois ; à portée de main et taboues ; gourdes et remuantes ; motifs de complexe et de perfection ; censurées et pourléchées ; sacs à merde et îles au trésor ; elles ouvrent tellement de perspectives que les Fauteuses de trouble, pour ce numéro 7, ont décidé de se pencher sur les fesses pendant un mois et demi*, sans oublier que « Si haut que l’on soit placé, on n’est jamais assis que sur son cul. »**
Le jeu dont votre fessier est le héros
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Osez… la sodomie : un livre à mettre entr toutes les fesses !
* Prochain numéro, donc, le 1er juillet.
** Montaigne.
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