#7 Le jeu dont votre fessier est le héros

15 mai 2011
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Chapitre 1

Cette matinée avait pourtant commencé de manière ordinaire, vous donnant presque envie d’entonner un morne Comme d’habitude (coupe de fion et pattes d’éph en moins). Vous êtes postée devant votre dressing qui est aussi vide qu’un regard d’élève à 8 heures 04, suite à une organisation merdique des lessives : une non lancée, une qui moisit dehors parce qu’il a plu et une autre qui tourne (vaguement, rapport au grand âge de votre machine shoppée lors d’un obscure vide-grenier villageois). Vous jetez un coup d’œil réticent mais incontrôlable dans le conseiller des grasses. Votre conclusion : relâchement total des troupes… Regard bovin, envahisseurs poilesques nombreux, affaissement dramatique de la la sangle abdominale, le tout saupoudré d’un fessier légèrement culotte-de-chevalé. Vous touchez le fond de l’abîme du trou du désespoir et levez les bras au ciel en un geste d’affliction hargneuse. Vous êtes à deux doigts de sautiller sur place de colère mais votre dignité naturelle vous en empêche. Vous vous dites :

A/ Comme scandait l’aut’ : « Je suis le capitaine de mon âme, le maître de mon destin ». Vous ne vous laissez pas aller et enfilez une vieille mais néanmoins charmante culotte dentelée. Allez au chapitre 8.

B/ Comme scandait l’aut’ : « Je suis le capitaine de mon âme, le maître de mon destin ». Vous ne vous laissez pas aller et enfilez votre vieille culotte fétiche top-confort-top-repoussante-à-1-euro-50-100%-coton effilochée et trouée (votre théorie : tout ce qui ne se voit pas peut être négligé). Allez au chapitre 11.

Chapitre 2

- Oui, j’ai perdu ma culotte, elle m’a pétée entre les cuisses et pour faire bonne figure, j’ai tenté de faire croire qu’il s’agissait d’un Kleenex.
- Mais c’est merveilleux ! Quelle idée originale ! J’ai une proposition qui va bouleverser votre vie : venez travailler chez nous en tant que conceptrice mouchesque. Vous serez payée de manière indécente et vous pourrez vous moucher gratos jusqu’à la fin des temps.
Vous réfléchissez un quart de seconde et acceptez. Être avocate, c’est quand même moins fun. Vous souriez à votre chat et à la vie. Comme quoi, une histoire de fesses, ça rend vraiment heureux. Vous avez gagné !

Chapitre 3

Vous courez, courez, courez et percutez un homme que vous insultez copieusement. Il rétorque. Vous vous lancez dans un long monologue sibyllin sur les culs nus et les culottes de mauvaise qualité. Un attroupement avide se forme autour de vous. Une meute affamée de policiers intervient : ils vous recherchent pour exhibition et violence dans un palais de justice. Vous êtes en état d’arrestation. Vous montez dans :

A/ Le fourgon des policiers. Allez au chapitre 14.

B/ Le fourgon des policières. Allez au chapitre 6.

Chapitre 4

Un silence épais suit votre fracassante déclaration. Puis un rire torrentiel, inextinguible vous assourdit. Vous êtes la risée de cette meute de hyènes. Vous levez les yeux au ciel, méprisante et sortez votre « mouchoir ». Vous soufflez furieusement dedans et faites mine de vous retirer quelques loulous, histoire d’être réaliste, puis allez vous asseoir. Vous sentez que le public s’interroge : ont-ils vraiment vu une culotte ?
Le procès débute. Vous tentez tant bien que mal de défendre votre client mais vous ne cessez de revivre mentalement cette honteuse scène et êtes lamentable.
Résultat : Madame Vénère a seulement dû faire deux œillades de mamie nova désespérée pour gagner le procès. Dépitée, vous rentrez chez vous. Alors que vous triez vos culottes, le téléphone sonne. Vous décrochez, épanouie d’être distraite un instant de votre laborieuse tâche.
- Bonjour, entreprise Kleenex à l’appareil. Nous voudrions vous contacter suite à une rumeur planant sur vous : avez-vous oui ou non affirmé que vous vous mouchiez avec un kleenex rouge à dentelles ?

A/ Vous avouez tout. Vous êtes d’une nature (légèrement) honnête et vous avez besoin de vous épancher. Allez au chapitre 2.

B/ Vous niez : trop peur que l’entreprise vous colle un procès pour blasphème! Allez au chapitre 10.

Chapitre 5

Votre sommeil a été cauchemardesque, peuplé de silhouettes fantomatiques à culottes inesthétiques. Le réveil est donc difficile mais nécessaire. Vous vous dirigez d’un pas traînant vers votre ordinateur et avalez votre lot de critiques : « Culotte affreuse… pitoyable sous-vêtement…Anti-sexe… »
Mais soudain, un commentaire : « Ben koi, él a un zlip pir ke tou mé on en é toute là, non ? « . Oui, le message est écrit par une frénétique du langage textoesque. Oui, la formulation est désolante mais on prend votre défense ! Vous avez envie d’embrasser « P’titebombdu74″ qui a posté ce message. Et ce n’est pas la seule !!!
C’est un véritable triomphe ! Les mots de supporters à culottes déglingues sont innombrables ! C’est un déchaînement des foules, un recueillement collectif, une admiration universelle : tout le monde vous aime et vous comprend. Peu de temps après, vous créez une association pour « les droits des femmes à porter des slips-moches-mais-confort » et poursuivez votre engagement toute votre vie, en soutenant d’autres causes en parallèle (droits de la femme de porter un soutien-gorge non coordonné à la culotte, droit de la femme de ne s’épiler le maillot qu’une fois tous les deux mois, droit de la fesse à être molle).

Chapitre 6

Les policières échangent des petits regards complices et l’une d’elles vous dit :
- Vous vous baladez souvent cul nu ? C’est confort ? Parce que moi, j’ose pas. Avec mon uniforme en synthétique, j’ai peur de finir avec les fesses aussi rouges qu’un cul de bébé erythémé.
Vous leur expliquez votre mésaventure et elles compatissent. Elles aussi portent des slips en dentelle synthétiques qui menacent de péter d’un instant à l’autre. Vous êtes arrivées devant le commissariat. Les journalistes ont déjà eu vent de l’affaire et les flash crépitent. Vous sortez de la voiture les deux jambes en premier, comme les stars, encadrée par vos deux gardes du corps. Mais alors que vous vous dirigez fièrement vers le poste, vous marchez sur une bouche d’aération qui soulève votre robe et exhibe votre paire de fesses maintenant célèbre. D’un geste tout à fait Marylinéen, vous rabattez votre robe (vous commencez à avoir l’habitude), dédiez un sourire glam shine aux journalistes et pénétrez dans le commissariat avec panache. Le PDG de chez Dim paye votre caution et vous fait une offre alléchante. Peu de temps après, vous êtes l’égérie d’une campagne intitulée : « Moi qui n’aime pas les slip, je porte celui-ci ! ». Vous gagnez des millions et achetez une île dans laquelle vous vivez cul nu le restant de vos jours.

Chapitre 7

Le procès commence. Vous appelez votre client à la barre et commencez l’interrogatoire tout en constatant qu’avoir le cul à l’air sous une robe, c’est tout confort…
- Vous avez donc été violemment agressé par l’accusée. Quelle sont les séquelles de cette farouche empoignade ?
- J’ai deux traces de morsures sur la joue et une touffe de cheveux en moins. Je souffre tous les jours du syndrome post-traumatique.
Soudain, un mouvement : Madame Vénère a bondi de sa chaise et se précipite (aidée par sa canne supersonique ) sur Raymond. N’écoutant que votre courage, vous vous interposez et tentez de maîtriser l’hystérique. Fourbement, elle vous griffe. Mais vous agrippez son chignon et tirez de toutes vos forces en poussant un cri de guerre terrifiant. Et là… là… là… La perfide, la vicieuse soulève votre robe et la rabat sur votre tête, dévoilant au grand jour votre fessier nu. La salle éclate d’un rire violent. Vous lâchez le cou de la vieille garce (dont la perruque s’avachit dans vos mains tremblantes) et…

A/  Vous remontez votre pantalon en sanglotant : trop, c’est trop. Le stress, le dévoilement de votre inavouable intimité a eu raison de votre Gloria Gaynor-attitude. Vous vous effondrez et quittez la salle en courant. Allez au chapitre 3.

B/ Telle un chevalier du zodiaque, vous restez combative, rabattez votre robe vitesse grand V et étalez mamie d’un magnifique plaquage sur le sol. Allez au chapitre 12.

Chapitre 8

Vous vous êtes habillée (oui, vous avez réussi à exhumer une robe du fond de votre armoire) et vous vous rendez au tribunal. Vous êtes tendue comme un string : c’est une affaire importante. Les médias l’ont titrée : « Tatie Danielle moleste un homme ». Vous êtes chargée de défendre Raymond Vicmolle, agressé à 11 heures 48 et 34 secondes à la Boulangerie du bon pain par Annette Vénère. Motif : le jeune homme a eu l’audace d’acheter la dernière baguette de pain. Témoin  : la boulangère (mais elle subissait ce jour là les foudres d’une conjonctivite aiguë l’empêchant de distinguer la réalité de la vie. Comme le préciserait donc très justement mon petit cousin de trois ans, elle compte pour du beurre).
Vous entrez dans la salle d’audience d’un pas triomphal : vous vous visualisez déjà couronnée de lauriers, surnommée « Ze perfect avocate ». Vous vous dirigez vers votre client d’un pas élastique et glamour sous le regard admiratif des spectateurs. Quand soudain, vous percevez un « SCRITCHHHH ». Vous sentez que votre culotte a pété. Maudite dentelle. Vous ralentissez le pas, tentant de la retenir entre vos cuisses. Mais elle glisse, glisse, glisse et fatalement, vous la perdez. Silence de plomb. Vous suivez les regards interloqués et contemplez, ébahie, votre culotte gisant à terre. Une violente rafale de rires s’abat sur vous, telle la peste sur les nécessiteux.

A/ (Faussement) désinvolte, vous ramassez votre bien en ponctuant le geste d’un :  » Oups, mon mouchoir !  » magistral. Les kleenex rouges à frous-frous, ça pourrait exister, non ? Allez au chapitre 4.

B/ Rouge de honte mais vive comme Speedy Gonzales sous Guronzan, vous vous emparez de votre slip et le fourrez dans votre poche tout en continuant votre chemin dignement. Allez au chapitre 7.

Chapitre 9

Votre index est gercé à force d’avoir actualisé frénétiquement la page de votre perdition. Les commentaires s’enchaînent, lapidaires et ricaneurs. Vous vous tassez pathétiquement sur votre chaise et le verre de pinard s’est transformé en je-bois-au-goulot en mangeant des cahouettes.
Mais… Soudain, un commentaire : « Ben koi, él a un zlip pir ke tou mé on en é toute là, non ? « . Oui, le message est écrit par une obsédée du langage textoesque. Oui, la formulation est désolante mais on prend votre défense ! Vous avez envie d’embrasser « P’titebombdu74″ qui a posté ce message. Sans déc, vous ne vous sentez plus de joie, ouvrez un large bec pour y engloutir un Curly et allez vous coucher l’esprit serein.
Le lendemain, la bouche pâteuse mais le doigt vif, vous actualisez votre page et là : c’est un véritable triomphe! Les mots de supporters à culottes déglingues sont innombrables ! C’est un déchaînement des foules, un recueillement collectif, une admiration universelle: tout le monde vous aime et vous comprend. Vous vous réorientez et devenez mannequin de la fesse pour des publicités de culottes en coton et vivez heureuse jusqu’à la fin des temps.

Chapitre 10

- Ha non, vous vous trompez, voyons, jamais je n’aurais perdu mon slip et jamais une idée si saugrenue ne me serait venue à l’esprit ! Vous vous méprenez, cher Monsieur !
- Ha… (soupir de déception)… Tant pis, je voulais vous proposer de rejoindre notre entreprise à la tête du service « Nouvelles Idées » car je trouvais votre mouchoir-culotte particulièrement innovant. Mais tant pis…
- Noooon ! Attendez!  Oui, oui, oui, j’ai bien affirmé que ma culotte était un mouchoir, j’ai menti !
-Vous êtes malhonnête en plus? Désolé, nous ne voulons pas de cela dans notre entreprise 100% coton blanc, 100% pureté. Vous êtes une infection méritant d’être mouchée, l’équivalent d’une crotte de nez molle et verdâtre. Au revoir, Madame.
Vous avez perdu…Vous auriez dû assumer votre loose fessesque ! Rejouez pour gagner !

Chapitre 11

Vous vous êtes habillée (oui, vous avez réussi à exhumer un slim noir du fond de votre armoire) et vous vous rendez au tribunal. Vous êtes tendue comme un string : c’est une affaire importante. Les médias l’ont titrée : « Tatie Danielle moleste un homme ». Vous êtes chargée de défendre Raymond Vicmolle, agressé à 11 heures 48 et 34 secondes à la Boulangerie du bon pain par Annette Vénère. Motif : le jeune homme a eu l’audace d’acheter la dernière baguette de pain. Témoin : la boulangère (mais ce jour-là, elle subissait les foudres d’une conjonctivite aiguë l’empêchant de distinguer la réalité de la vie donc, comme le soulignerait justement mon petit cousin de trois ans, elle compte pour du beurre).
Le procès commence. Vous appelez votre client à la barre et commencez l’interrogatoire :
- Vous avez été violemment agressé par l’accusée. Quelle sont les séquelles de cette empoignade farouche?
- J’ai deux traces de morsures sur la joue et une touffe de cheveux en moins. Je souffre tous les jours du syndrome traumatique post-stress intense.
Soudain, un mouvement… Madame Vénère a sauté de sa chaise et se précipite (aidée par sa canne supersonique) sur Raymond. N’écoutant que votre courage, vous vous interposez et tentez de maîtriser l’hystérique. Fourbement, elle vous griffe. Mais vous agrippez son chignon et tirez de toutes vos forces en poussant un cri de guerre terrifiant. Et là… là… là… La perfide, la vicieuse baisse votre pantalon, dévoilant au grand jour votre immonde culotte. La salle éclate d’un rire violent. Vous lâchez la perruque de la vieille garce (qui reste dans vos mains tremblantes) et …

A/ Vous remontez votre pantalon en sanglotant : trop, c’est trop. Le stress et le dévoilement de votre inavouable intimité ont eu raison de votre Gloria Gaynor-attitude. Vous vous effondrez et quittez la salle en courant. Allez au chapitre 13.

B/ Telle un chevalier du zodiaque, vous restez combative, renfilez votre fut vitesse grand V et étalez mamie d’un magnifique plaquage au sol. Allez au chapitre 12.

Chapitre 12

Vous pesez de tout votre poids sur le dentier de mamistérique tout en lui enfonçant méthodiquement le nez dans la mâchoire d’une main rageuse. L’animal qui est en vous fait surface et vous vous sentez l’âme de Terminator (aspect métallique en moins) . Vous êtes sourde aux cris horrifiés de la foule et aux tentatives malheureuses d’un pauvre juré pour vous faire lâcher prise. Madame Vénère suffoque. Soudain, vous êtes propulsée en arrière. Le juge vous traîne par la peau du cul dans une salle privée. Vous le traitez de trouduc fébrile, vous vous dégagez de son étreinte parfumée à la sueur et fuyez…

A/ Vous rentrez chez vous. Allez au chapitre 13.

B/ Vous allez noyer votre chagrin au pub d’en face. Allez au chapitre 15.

Chapitre 13

Vous courez, courez, courez et rentrez chez vous. Fuck la vie d’avocate, fuck les mamachiavéliques. Vous vous préparez une infusion détente parfumée… que dis-je ? je me fourvoie ! un bon verre de pinard et vous vous connectez à Youtube, histoire de vous réconforter en musique. Un cataclysme s’abat sur vous : vous voyez votre culotte en page d’accueil. Vous cliquez sur la vidéo et atterrée , visionnez  un film pirate posté par une personne ayant assisté au procès. On vous voit vous interposer bravement, vous faire empoigner par Madame Vénère et vous faire baisser le froc lamentablement. Un gros plan final sur votre visage interloqué clôt cet aberrant spectacle. Les commentaires moqueurs se bousculent, du style : « Avec une paye d’avocate, elle peut pas se payer autre chose que des vieilleries de la marque Un ? « 

A/ Désolée, vous et votre atroce slip allez vous coucher. Comme dirait mémé : la nuit porte conseil ( ou vous ôte de votre merde pendant au moins 7 heures). Allez au chapitre 5.

B/ Honteuse, vous souhaitez tout de même assister à votre lynchage public et actualisez la page à chaque seconde. Allez au chapitre 9.

Chapitre 14

Les policiers échangent des regards condescendants qui signifient clairement : Encore-une-femme-hystérique-elles-le-sont-toutes. Mais le fourgon freine brusquement. Des cris, des chants… Mais que se passe-t-il ?
Le véhicule est pris d’assaut. Vous apercevez un écriteau : « Vive les culs nus! Association des nudistes de France ! ». Mais comment ont-ils eu l’info si vite ?
Les policiers font moins les malins, ils sont même un peu inquiets quand deux grosses fesses rouges viennent s’écraser sur le pare-brise. Ils vous libèrent finalement. Vous êtes portée par la foule en délire et partez vivre dans un village naturiste du sud du pays ou vous vieillirez heureuse et à poil (vous gagnerez votre vie en vendant des cartes postales de fesses).

Chapitre 15

Vous commandez une pinte de Guinness et vous laissez aller à votre chagrin. Bientôt, vous êtes entourée d’une armée de verres vides et vous vous mouchez bruyamment dans la manche d’un de vos voisins (qui dort sur le comptoir) en hoquetant pitoyablement. Un courant d’air vous tire soudain de votre ardent désespoir. Un homme magnifique (pour la description,  voir dans les Danielle Steel de votre tata) s’approche et vous susurre :
- J’étais au procès… Je voulais vous dire que je suis fétichiste des culottes et que je suis tombé désespérément amoureux…

- De moi ? articulez-vous d’une voix chevrotante en vous effondrant dans les bras de l’Inconnu à la mèche noire ébène dont le regard sombre et langoureux vous électrise (Thanks Dany Steel).

- Pas de vous!  rétorque-t-il l’air écœuré. De votre sous-vêtement. Étant donné que je suis extrêmement riche, je vais vous faire une proposition que vous ne saurez refuser. Vendez moi votre culotte pour la somme de 100 000 euros.

Vous tombez des nues, mais acceptez, bouche bée, le chèque obscène qu’il vous tend.
Vous vivez riche jusqu’à la fin des temps (au moins !) et créez une entreprise de sous-vêtements à votre effigie qui prospérera de génération en génération. Vous avez gagné !!!

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3 Responses to #7 Le jeu dont votre fessier est le héros

  1. Delphine
    9 juin 2011 at 16 h 16 min

    « Vous gagnez des millions et achetez une île dans laquelle vous vivez cul nu le restant de vos jours. »

    Mais…mais…mais… C’EST EXACTEMENT MON REVE !!! :)

    Merci pour ce jeu fort amusant !

  2. phedre
    23 mai 2011 at 14 h 30 min

    Merci Violette, j’espère que tu es sortie victorieuse de cette sordide affaire !

  3. 20 mai 2011 at 22 h 43 min

    j’adooore! :)))

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