Cochez les affirmations qui vous correspondent le mieux puis rendez-vous aux fatidiques résultats.
- Quand de lourds nuages s’insinuent fielleusement en vous, que vos pensées se précipitent morbidement vers de glauquissimes sujets tels que la mort et l’au-delà, une angoisse terrible vous étreint : sera-t-il possible d’inclure Minouchet-le-chat dans votre testament (voire de tout lui léguer) ? A
- Vous avez instauré un lieu de culte au sein votre maison : cet espace de recueillement que seules les âmes pures peuvent fouler est nommé dressing. C
- Vous avez fait quelque chose de hautement condamnable et tout le monde vous abhorre d’une haine Voldemoresque. Heureusement, vous saurez toujours où trouver un peu de réconfort : chez votre ego. B
- Votre boulangère connaît votre prénom, celui de vos enfants, votre lieu de naissance, la date de vos dernières règles… Vous diriez même que c’est la personne que vous fréquentez le plus assidûment. D
- Vous avez déjà refilé une boîte de sardines premium du célèbre capt’ain Cook à Médor-la-bave. Parce qu’il le vaut bien. A
- Vous refusez d’enfermer Titi-le-canari dans sa prison-cage, malgré les apocalyptiques conséquences dans votre salon et ses systématiques défécations sur votre décolleté. A
- Dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, comme dirait l’autre, le devoir s’abat sur vous : vous vous préparez laborieusement à aller travailler. Votre unique plaisir matinal ? La contemplation de votre mirifique visage dans la glace. B
- Découvert… Blouse Sandro… Découvert… Blouse Sandro : vous êtes particulièrement efficace en résolution de dilemmes cornéliens et tranchez toujours promptement. (En faveur du style.) C
- Récemment, vous avez fait une dépression : votre slim fétiche a craqué. C
- On vous a gravement insultée, l’offense est impardonnable. Le coupable s’en veut atrocement et tente pitoyablement de se racheter en vous invitant au restaurant : vous lui pardonnez instantanément et votre rate se dilate d’extase à l’idée d’une entrecôte saignante aussi monumentale que Babar l’éléphant. D
- Lorsqu’on vous demande de citer une personnalité que vous admirez, vous avez beau vous creuser comme un trou sans fond, une seule image envahit votre cerveau : vous. B
- Vous militez activement pour le droit à manger de la raclette en été. D
Fatidiques résultats :
Une majorité de réponses A :
Vous êtes folle de votre compagnon à poils : lorsque vous vous trouvez au rayon Whiskas, votre cœur s’emballe comme une rythmique de lambada. Vous vouez un culte (monstrueux selon vos proches, tout à fait équilibré selon vous) à votre chien/ chat/ rat/ lézard/ mec/ papillon. Une mise en garde tout de même : ne poussez pas l’empathie jusqu’à goûter du Sheba, c’est dégueu.
Une majorité de réponses B :
Vous êtes folle de vous. Vous vous aimez, vous vous désirez aussi chaudement que la braise du feu pourléchant ma chipolata. Vous + vous = love forever. Vous l’avez même gravé sur votre table de cuisine. Mon conseil toutefois : évitez de rouler des pelles à votre reflet. Les miroirs sont bourrés de bactéries plus monstrueuses que Freddy et Jason réunis.
Une majorité de réponses C :
Vous êtes folle de vos sapes. Vous seriez prête à vous couper le petit orteil (qui est pourtant éminemment utile) pour une veste Bash. Mon avis, si je puis me permettre : évitez d’échanger mémé Denise contre une paire de Manolo : le choc pourrait la faire claquer net. (Et qui se retrouverait au poste, vêtue d’une infâme combinaison orange-pisseux ?)
Une majorité de réponses D :
Vous êtes folle de nourriture. Le paradis terrestre s’apparente pour vous à un buffet froid-tout-à-volonté. La boustifaille, c’est la vie. Un bon gigot arrosé d’un Bordeaux et vous voilà en joie pour la semaine. Une remarque en passant : pensez à toujours avoir dans votre sac à main un tupper de bœuf bourguignon : en cas d’interminables embouteillages/ de longues et ennuyeuses réunions/ de virées shopping à extension, vous ne dépérirez pas.
Commentaires récents