J’aurais préféré entrer dans Toute la noirceur du monde par la grande porte, celle de la fiction. Pourtant, il m’a fallu pousser la petite porte de la préface. Bien sûr, personne ne m’obligeait à la lire, cette courte préface. Mais je suis poli et j’ai écouté Pierre Mérot tenter de dissiper, presque à contrecœur, quelques…
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