« Je fus alors saisi d’une incroyable terreur, à l’idée que ces textes allaient me montrer tout nu à la face du plus large public : tout nu, c’est-à-dire tel que j’étais, un être d’artifice et d’impostures, et rien d’autre, un philosophe ne connaissant presque rien à l’histoire de la philosophie et presque rien à Marx.»…
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