« Depuis longtemps, la lumière me fascine, et j’essaie de la capturer sous tous les aspects possibles.
Ce que j’aime particulièrement, c’est quand elle « fait écran », quand elle opacifie les particules de l’air, quand elle révèle les petits détails et qu’elle devient presque un élément saisissable, solide.
La série Les miroirs spontanés (titre venant du poème L’entente, de mon inspiration éternelle qu’est Paul Eluard) m’a permis de travailler sur l’impact de la lumière sur des vitres afin de les saisir dans une nouvelle optique : elles deviennent des écrans, des surfaces attrapant la lumière, reflétant une ambiance, entre transparence et opacité, ombre et clarté. »
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